Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les Mortes Pâmoisons
16 juillet 2009

Sablier

Je dois dire que le temps m'angoisse.
Il passe, comme du vent, lambeaux d'écharpes hurlantes que l'on ne peut retenir, mais qui nous retient des choses. Nous en laisse parfois. Nous souffle dessus quand nos yeux s'embrument. Nous donne l'impression de courir sur une horloge, infiniment.

Publicité
Publicité
Commentaires
Les Mortes Pâmoisons
Publicité
Publicité